Ville de Santiago de Cuba (Santiago de Cuba)

cuba

Présentation

Santiago de Cuba, capitale de la province du même nom, est la deuxième ville la plus peuplée de Cuba. Située dans le sud-est du pays, à environ 870 km de la capitale, La Havane, la ville fut fondée par Diego Velazquez de Cuellar en 1515 et, depuis, elle attire les gens et les événements (bons et mauvais) comme un aimant. Il se passe toujours quelque chose dans cet endroit! Moins d'un an après sa fondation, Santiago de Cuba fut brûlée, mais elle fut presque immédiatement reconstruite. Six ans plus tard, la ville devint la capitale de la colonie espagnole de Cuba. Le village en développement fut pillé deux fois en moins d'un siècle: une fois par les Français, une autre par les Britanniques. C'est à cet endroit que l'Espagne fut vaincue en 1898 lors de la guerre hispano-américaine, et que la révolution cubaine fut victorieuse en 1959. Santiago de Cuba n'est jamais une ville morne!

La ville de Santiago de Cuba appartient à la province Santiago de Cuba.

Points ou centres d'intérêts

Histoire écrite dans le sang

Le 1er janvier 1959, une proclamation de Fidel Castro, le chef des insurgés, mit fin à la révolution de manière symbolique. Cinq ans et demi plus tôt une attaque sur les casernes de Moncada, situées à Santiago de Cuba, avait déclenché la guerre, dont le premier chapitre fut écrit dans le sang. Le deuxième nom de la politique est "controverse": il existe toujours plus d'un point de vue, et la violence accompagne souvent les développements politiques. Choisir un camp dépasse le but présent, mais peu importe ce que les gens en pensent, les événements de cette guerre, pour un pays comme Cuba, furent l'un des points marquants de l'histoire. C'est pour cette raison que le 26 juillet 1953, date de l'attaque des casernes, est une date importante qui met en perspective l'existence du "Musée historique du 26 juillet", créé en 1978, des années après que les rebelles furent devenus les dirigeants du pays. Ce musée vaut le détour: vous n'avez pas à soutenir la cause de la "bande hétéroclite" de petits employés sous-payés, mais les risques qu'ils prirent et leurs sacrifices méritent votre respect.

Se faire des amis

Le respect amène le respect, et la curiosité amène la gratitude et la reconnaissance. Quand vous avez affaire à des gens qui ont continuellement dû justifier leurs choix, leur histoire et leur façon de vivre, montrer de l'intérêt pour ce qu'ils ont à partager est le meilleur moyen de se faire de véritables amis. C'est pour cette raison qu'il vaut la peine de rester sur le sujet de la Révolution et de visiter Granjita Siboney. L'attaque de Moncada fut un échec, mais pas par manque de préparation. En fait, les rebelles passèrent beaucoup de temps à planifier cette attaque dans cette ferme située en banlieue de Santiago de Cuba. C'est là que le plan de bataille fut formé quand les rebelles se réunirent la veille de l'opération militaire. Aujourd'hui, la ferme est un musée et, à en juger par les commentaires des visiteurs, les employés sont toujours profondément touchés par le souvenir de cette nuit mémorable d'il y a 60 ans. Cette attitude fait de Granjita Siboney un "musée vivant" où les choses se passent et ne sont pas seulement racontées. C'est une expérience incontournable, et l'excellente nourriture et les paysages pittoresques ne sont que des plus.

"J'aurais pu danser toute la nuit!"

Tout à Cuba ne tourne pas autour de la Révolution, et les habitants savent apprécier les bons côtés de la vie. En fait, ils sont excellents pour le faire. Certains pourraient, comme le dit la phrase célèbre, danser toute la nuit (s'il y avait une raison de le faire). De nombreux Cubains le font, sans raison particulière. Il y a des histoires fantastiques au sujet de jeunes filles qui pleuraient et dansaient en même temps! Elles pleuraient parce qu'elles étaient affligées par une tragédie familiale, et elles dansaient parce que c'était le moyen le plus naturel pour elles d'exprimer leurs émotions! Il ne faut donc pas s'étonner de l'existence d'un musée dédié à la danse comme mode de vie. Le Musée du Carnaval, situé dans l'une des plus vieilles maisons de Santiago de Cuba, dans la rue Heredia, n'est pas grand, mais il suffit à explorer le sujet. Les carnavals tournent autour des vêtements et des actions, et deux des trois pièces du musée sont dédiées aux costumes, alors que la dernière concerne les instruments à percussion. Les concerts, qui ont lieu à 16 h le mardi et le samedi, valent le détour.

Relaxation

Ce n’est pas sans raison que Cuba est souvent perçue comme "le pays du carnaval", mais cette définition est surtout spirituelle, pas littérale. La danse est un moyen d'exprimer la philosophie de la détente qui semble avoir été adoptée par les Cubains, mais ce n'est pas le seul moyen de le faire. De nombreux personnages publics comme Ermest Hemingway, se retirent à Cuba pour s'éloigner de leur vie frénétique et se ressourcer, et profiter des vues pittoresques, des belles femmes et du rhum. Les Cubains sont d'ailleurs aussi fiers de leur rhum que de leurs carnavals, et les musées du rhum en sont la preuve! Il y a en effet plus d'un musée du rhum à Cuba, mais le "Havana Club", aussi impressionnant soit-il, est aussi connu pour son côté commercial. Le petit musée au coin de la rue Hartmann et de la rue Castillo Duany, à Santiago de Cuba, se concentre sur le produit vedette. Son but est de raconter l'histoire du rhum à travers les expositions (comme les anciennes machines utilisées pour le produire) de façon à ce que les visiteurs soient intéressés.

Au nom du crâne!

Le musée de la piraterie, dans le port de Santiago de Cuba, se situe dans une petite partie d'un impressionnant château médiéval bâti en 1643 pour protéger la baie des pirates britanniques. Le château s'élève sur un promontoire de 60 mètres et il offre des vues spectaculaires sur le port et les montagnes Sierra Maestra. Comme la plupart des châteaux médiévaux, il servit jadis de prison, mais c'est maintenant un site historique. Il est si bien entretenu que c'est un site du patrimoine mondial de l'UNESCO. Le musée de la piraterie est un plus quand vous visitez le château (le billet de 4 $ donne accès aux deux lieux). Son nom est plus facile à comprendre quand on se rappelle que Sir Francis Drake, qui vainquit l'Armada espagnole en 1588, était le pirate de sa Majesté! En d'autres mots, au Moyen-Âge la piraterie était une institution sociale/militaire qui pouvait servir les dirigeants politiques, pas seulement une occupation pour les hors-la-loi, et un musée comme celui de Santiago de Cuba permet de mieux comprendre ce phénomène.

Solide comme du béton

Le château dans la baie n'est pas le seul point d'observation permettant d'admirer Sierra Maestra, ce n'est même pas le meilleur. Ce titre revient à un phénomène naturel, un rocher formé par l'éruption d'un volcan sous-marin. Ce rocher, Gran Piedra (grande roche), est si célèbre dans la région que son nom fut donné à une chaîne de montagnes. Vous pouvez atteindre le sommet de ce rocher grâce à 452 marches entourées d'une magnifique végétation. En plus de fournir un excellent point d'observation, Gran Piedra est aussi le centre d'une région historique où les immigrants français s'installèrent au XIXème siècle.

Admirer la flore

Faire de l'exercice physique (par exemple escalader un rocher) tout en admirant des vues pittoresques est fantastique, mais il est parfois agréable de voir de magnifiques paysages sans s'exténuer. Santiago de Cuba offre cette possibilité, notamment au Jardin de los Helechos. Situé à seulement deux kilomètres du centre-ville, ce jardin est accessible par l'autobus 5 à partir de Plaza de Marte (le billet coûte 20 centavos). Vous y trouverez 350 sortes de fougères et 90 espèces d'orchidées. Le meilleur moment pour voir ces fleurs est de novembre à janvier.  

Là où de nombreuses personnalités se rencontrent

Quand on entend parler d'une visite guidée d'un endroit sympathique et impressionnant, on ne pense pas automatiquement à un cimetière. C'est portant le cimetière Santa Ifigenia qui a inspiré ces commentaires, et il y a probablement une bonne raison. En premier lieu, vous serez impressionné par la cérémonie de relève de la garde qui a lieu toutes les demi-heures au monument de Jose Marti, héros cubain. Vous apprécierez aussi l’ambiance de l'endroit en découvrant le nombre de Cubains célèbres enterrés là, ce qui rend le cimetière semblable au cimetière du Père-Lachaise de Paris. L'entrée est gratuite.

Mettre toute la gomme

Une des visites guidées les plus populaires de Santiago de Cuba a un lien avec une activité populaire dans tous les pays: le sport. Les athlètes cubains sont célèbres dans de nombreux sports, comme l'athlétisme, la boxe, le judo, et le volleyball, même si aucun de ceux-ci n'est le sport national. Cet honneur revient plutôt au baseball. C'est d'ailleurs au stade de l'équipe régionale, Avispas (les Guêpes), que la visite guidée commence, organisée par l'entreprise Cubanacan. Cette visite ne sert pas seulement à assister à une partie, mais aussi à rencontrer les joueurs.

Vous aimez ? Partagez !

Chiffres

Code pays :
CU
Code postal :
90100
Latitude :
20.20165
Longitude :
-76.14167
Zone horaire :
America/Havana
Fuseau horaire :
UTC-5
Heure d'été :
Y

Villes voisines

  • Palma Soriano ~15 km
  • Contramaestre ~16 km
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Comment y aller ?

Même si Santiago de Cuba se situe loin de la capitale, elle demeure une ville importante: c'est une importante ville portuaire et c'est la deuxième plus grande ville de Cuba. Il n'est donc pas surprenant qu'elle soit reliée à La Havene et à de nombreuses autres destinations mondiales. La compagnie aérienne Cubana de Aviacion qui opère à l'aéroport Antonio Maseo offre des vols vers Montréal, Madrid et Paris-Orly, en plus de connexions vers La Havane. Certaines autres compagnies aériennes s'occupent des vols vers les destinations à proximité: Amérique du Nord et Caraïbes. Les services de trains (Ferrocarriles de Cuba) et d'autobus (Astro interurbain) sont bien développés et offrent des départs fréquents vers la capitale et d'autres villes de Cuba. Pour se déplacer à Santiago de Cuba, vous pouvez utiliser les autobus: le Métrobus dessert la cité (pas plus de 20 km du centre-ville) et Omnibus Metropolitanos va jusqu'à 40 kilomètres du centre. Les voitures ne sont pas très populaires à Cuba et les autoroutes sont peu nombreuses et éloignées. Cependant, l'autoroute Carretera et la A1 traversent Santiago de Cuba.

Les transports de Santiago de Cuba

Aéroport international
Antonio Maceo Intl ~41 km

Ville de Santiago de Cuba (Santiago de Cuba)

cuba

Présentation

Santiago de Cuba, capitale de la province du même nom, est la deuxième ville la plus peuplée de Cuba. Située dans le sud-est du pays, à environ 870 km de la capitale, La Havane, la ville fut fondée par Diego Velazquez de Cuellar en 1515 et, depuis, elle attire les gens et les événements (bons et mauvais) comme un aimant. Il se passe toujours quelque chose dans cet endroit! Moins d'un an après sa fondation, Santiago de Cuba fut brûlée, mais elle fut presque immédiatement reconstruite. Six ans plus tard, la ville devint la capitale de la colonie espagnole de Cuba. Le village en développement fut pillé deux fois en moins d'un siècle: une fois par les Français, une autre par les Britanniques. C'est à cet endroit que l'Espagne fut vaincue en 1898 lors de la guerre hispano-américaine, et que la révolution cubaine fut victorieuse en 1959. Santiago de Cuba n'est jamais une ville morne!

La ville de Santiago de Cuba appartient à la province Santiago de Cuba.

Points ou centres d'intérêts

Histoire écrite dans le sang

Le 1er janvier 1959, une proclamation de Fidel Castro, le chef des insurgés, mit fin à la révolution de manière symbolique. Cinq ans et demi plus tôt une attaque sur les casernes de Moncada, situées à Santiago de Cuba, avait déclenché la guerre, dont le premier chapitre fut écrit dans le sang. Le deuxième nom de la politique est "controverse": il existe toujours plus d'un point de vue, et la violence accompagne souvent les développements politiques. Choisir un camp dépasse le but présent, mais peu importe ce que les gens en pensent, les événements de cette guerre, pour un pays comme Cuba, furent l'un des points marquants de l'histoire. C'est pour cette raison que le 26 juillet 1953, date de l'attaque des casernes, est une date importante qui met en perspective l'existence du "Musée historique du 26 juillet", créé en 1978, des années après que les rebelles furent devenus les dirigeants du pays. Ce musée vaut le détour: vous n'avez pas à soutenir la cause de la "bande hétéroclite" de petits employés sous-payés, mais les risques qu'ils prirent et leurs sacrifices méritent votre respect.

Se faire des amis

Le respect amène le respect, et la curiosité amène la gratitude et la reconnaissance. Quand vous avez affaire à des gens qui ont continuellement dû justifier leurs choix, leur histoire et leur façon de vivre, montrer de l'intérêt pour ce qu'ils ont à partager est le meilleur moyen de se faire de véritables amis. C'est pour cette raison qu'il vaut la peine de rester sur le sujet de la Révolution et de visiter Granjita Siboney. L'attaque de Moncada fut un échec, mais pas par manque de préparation. En fait, les rebelles passèrent beaucoup de temps à planifier cette attaque dans cette ferme située en banlieue de Santiago de Cuba. C'est là que le plan de bataille fut formé quand les rebelles se réunirent la veille de l'opération militaire. Aujourd'hui, la ferme est un musée et, à en juger par les commentaires des visiteurs, les employés sont toujours profondément touchés par le souvenir de cette nuit mémorable d'il y a 60 ans. Cette attitude fait de Granjita Siboney un "musée vivant" où les choses se passent et ne sont pas seulement racontées. C'est une expérience incontournable, et l'excellente nourriture et les paysages pittoresques ne sont que des plus.

"J'aurais pu danser toute la nuit!"

Tout à Cuba ne tourne pas autour de la Révolution, et les habitants savent apprécier les bons côtés de la vie. En fait, ils sont excellents pour le faire. Certains pourraient, comme le dit la phrase célèbre, danser toute la nuit (s'il y avait une raison de le faire). De nombreux Cubains le font, sans raison particulière. Il y a des histoires fantastiques au sujet de jeunes filles qui pleuraient et dansaient en même temps! Elles pleuraient parce qu'elles étaient affligées par une tragédie familiale, et elles dansaient parce que c'était le moyen le plus naturel pour elles d'exprimer leurs émotions! Il ne faut donc pas s'étonner de l'existence d'un musée dédié à la danse comme mode de vie. Le Musée du Carnaval, situé dans l'une des plus vieilles maisons de Santiago de Cuba, dans la rue Heredia, n'est pas grand, mais il suffit à explorer le sujet. Les carnavals tournent autour des vêtements et des actions, et deux des trois pièces du musée sont dédiées aux costumes, alors que la dernière concerne les instruments à percussion. Les concerts, qui ont lieu à 16 h le mardi et le samedi, valent le détour.

Relaxation

Ce n’est pas sans raison que Cuba est souvent perçue comme "le pays du carnaval", mais cette définition est surtout spirituelle, pas littérale. La danse est un moyen d'exprimer la philosophie de la détente qui semble avoir été adoptée par les Cubains, mais ce n'est pas le seul moyen de le faire. De nombreux personnages publics comme Ermest Hemingway, se retirent à Cuba pour s'éloigner de leur vie frénétique et se ressourcer, et profiter des vues pittoresques, des belles femmes et du rhum. Les Cubains sont d'ailleurs aussi fiers de leur rhum que de leurs carnavals, et les musées du rhum en sont la preuve! Il y a en effet plus d'un musée du rhum à Cuba, mais le "Havana Club", aussi impressionnant soit-il, est aussi connu pour son côté commercial. Le petit musée au coin de la rue Hartmann et de la rue Castillo Duany, à Santiago de Cuba, se concentre sur le produit vedette. Son but est de raconter l'histoire du rhum à travers les expositions (comme les anciennes machines utilisées pour le produire) de façon à ce que les visiteurs soient intéressés.

Au nom du crâne!

Le musée de la piraterie, dans le port de Santiago de Cuba, se situe dans une petite partie d'un impressionnant château médiéval bâti en 1643 pour protéger la baie des pirates britanniques. Le château s'élève sur un promontoire de 60 mètres et il offre des vues spectaculaires sur le port et les montagnes Sierra Maestra. Comme la plupart des châteaux médiévaux, il servit jadis de prison, mais c'est maintenant un site historique. Il est si bien entretenu que c'est un site du patrimoine mondial de l'UNESCO. Le musée de la piraterie est un plus quand vous visitez le château (le billet de 4 $ donne accès aux deux lieux). Son nom est plus facile à comprendre quand on se rappelle que Sir Francis Drake, qui vainquit l'Armada espagnole en 1588, était le pirate de sa Majesté! En d'autres mots, au Moyen-Âge la piraterie était une institution sociale/militaire qui pouvait servir les dirigeants politiques, pas seulement une occupation pour les hors-la-loi, et un musée comme celui de Santiago de Cuba permet de mieux comprendre ce phénomène.

Solide comme du béton

Le château dans la baie n'est pas le seul point d'observation permettant d'admirer Sierra Maestra, ce n'est même pas le meilleur. Ce titre revient à un phénomène naturel, un rocher formé par l'éruption d'un volcan sous-marin. Ce rocher, Gran Piedra (grande roche), est si célèbre dans la région que son nom fut donné à une chaîne de montagnes. Vous pouvez atteindre le sommet de ce rocher grâce à 452 marches entourées d'une magnifique végétation. En plus de fournir un excellent point d'observation, Gran Piedra est aussi le centre d'une région historique où les immigrants français s'installèrent au XIXème siècle.

Admirer la flore

Faire de l'exercice physique (par exemple escalader un rocher) tout en admirant des vues pittoresques est fantastique, mais il est parfois agréable de voir de magnifiques paysages sans s'exténuer. Santiago de Cuba offre cette possibilité, notamment au Jardin de los Helechos. Situé à seulement deux kilomètres du centre-ville, ce jardin est accessible par l'autobus 5 à partir de Plaza de Marte (le billet coûte 20 centavos). Vous y trouverez 350 sortes de fougères et 90 espèces d'orchidées. Le meilleur moment pour voir ces fleurs est de novembre à janvier.  

Là où de nombreuses personnalités se rencontrent

Quand on entend parler d'une visite guidée d'un endroit sympathique et impressionnant, on ne pense pas automatiquement à un cimetière. C'est portant le cimetière Santa Ifigenia qui a inspiré ces commentaires, et il y a probablement une bonne raison. En premier lieu, vous serez impressionné par la cérémonie de relève de la garde qui a lieu toutes les demi-heures au monument de Jose Marti, héros cubain. Vous apprécierez aussi l’ambiance de l'endroit en découvrant le nombre de Cubains célèbres enterrés là, ce qui rend le cimetière semblable au cimetière du Père-Lachaise de Paris. L'entrée est gratuite.

Mettre toute la gomme

Une des visites guidées les plus populaires de Santiago de Cuba a un lien avec une activité populaire dans tous les pays: le sport. Les athlètes cubains sont célèbres dans de nombreux sports, comme l'athlétisme, la boxe, le judo, et le volleyball, même si aucun de ceux-ci n'est le sport national. Cet honneur revient plutôt au baseball. C'est d'ailleurs au stade de l'équipe régionale, Avispas (les Guêpes), que la visite guidée commence, organisée par l'entreprise Cubanacan. Cette visite ne sert pas seulement à assister à une partie, mais aussi à rencontrer les joueurs.

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Chiffres

Code pays :
CU
Code postal :
90100
Latitude :
20.20165
Longitude :
-76.14167
Zone horaire :
America/Havana
Fuseau horaire :
UTC-5
Heure d'été :
Y

Villes voisines

  • Palma Soriano ~15 km
  • Contramaestre ~16 km
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Même si Santiago de Cuba se situe loin de la capitale, elle demeure une ville importante: c'est une importante ville portuaire et c'est la deuxième plus grande ville de Cuba. Il n'est donc pas surprenant qu'elle soit reliée à La Havene et à de nombreuses autres destinations mondiales. La compagnie aérienne Cubana de Aviacion qui opère à l'aéroport Antonio Maseo offre des vols vers Montréal, Madrid et Paris-Orly, en plus de connexions vers La Havane. Certaines autres compagnies aériennes s'occupent des vols vers les destinations à proximité: Amérique du Nord et Caraïbes. Les services de trains (Ferrocarriles de Cuba) et d'autobus (Astro interurbain) sont bien développés et offrent des départs fréquents vers la capitale et d'autres villes de Cuba. Pour se déplacer à Santiago de Cuba, vous pouvez utiliser les autobus: le Métrobus dessert la cité (pas plus de 20 km du centre-ville) et Omnibus Metropolitanos va jusqu'à 40 kilomètres du centre. Les voitures ne sont pas très populaires à Cuba et les autoroutes sont peu nombreuses et éloignées. Cependant, l'autoroute Carretera et la A1 traversent Santiago de Cuba.

Les transports de Santiago de Cuba

Aéroport international
Antonio Maceo Intl ~41 km